Fanny . Fondatrice

L’effluve des feux de cheminée l’hiver. Le parfum de la crème solaire en été. Les arômes qui flottent chez le fleuriste en bas de la rue. L'émanation d’un gâteau tout juste sorti du four. Le fumet d’une balle de tennis qui n’a jamais encore été smashée.

Depuis toujours, les odeurs m’obsèdent. Partout, tout le temps.
Je fourre mon nez dans le cou des gens. J’écume les rayons des parfumeurs.
Je teste, j’adore, j’adopte, j’apprends, je ressens.

Et puis, un jour, j’ai décidé de suivre mon instinct. 

J’ai grandi en cultivant une fascination pour l’industrie de la parfumerie.

Puis les années ont passé et je réalise que celle-ci n’a que très peu évolué.

Les idées préconçues selon lesquelles la haute parfumerie doit être exclusive et « faire rêver » persistent, tout comme les sourires intemporels des égéries. 

L’impression donnée qu’un parfum “naturel, clean, green, vegan” est forcément bon pour la planète et pour la peau et qu’il ne faut pas prononcer les mots « molécules de synthèse » sans lesquelles la parfumerie ne serait pas aujourd’hui.

Et enfin le sentiment que « plus le parfum est cher, meilleur il est » est toujours ancré dans les esprits. 

Mais ça, c’était avant la création de FASCENT.